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Alain Delon : Douchy, un paradis pour ses chiens

Publié le par Ricard Bruno

Alain Delon, c’est notre dernière grande star de cinéma, qui a démarré sa carrière à l’âge de 22 ans, au retour de son engagement dans la marine en Indochine. C’est un mythe vivant, mais c’est aussi une personnalité qui dérange, car justement, il est différent. Pour celles et ceux qui n’ont jamais rencontré Alain Delon, c’est un homme ouvert et attentionné, qui aime échanger et surtout, qui possède intelligence et sensibilité… Dans cet entretien, vous allez découvrir Douchy, la maison familiale et sa passion pour ses chiens qui le lui rendent bien. Photos de Michel Marisy et Cécile Patrikeff

 

Eric Romain : Alain, je vous ai sollicité pour cette interview dans Doggy, vous m’avez dit oui, vous avez tenu parole, qu’est-ce qui vous a fait accepter ?

Alain Delon : Doggy est un magazine pour les chiens et pas pour les humains, je ne suis là que pour ça, que pour aider les chiens et les animaux en général.

Si vous regardez la presse d’aujourd’hui, c’est effrayant… Vous n’avez pas vu, il y a de plus en plus de chiens abandonnés, avant c’était la période des vacances, maintenant il n’y a plus de période creuse, c’est tout le temps. Je ne parle pas des sévices… En plus, des oreilles coupées, des numéros retirés, c’est effrayant... J’ai aussi lu quelque chose et c’est tout à fait nouveau : la répartition actuelle des jours fériés, des jours de repos et des RTT font qu’on abandonne de plus en plus de bêtes. C’est bien… Mais alors pourquoi les prendre ?

E. R. : Souvent dans l’enfance, on est attaché à un animal. Vous souvenez-vous du chien qui est entré un jour dans votre vie ?

A. D. : La première chienne de ma vie s’appelait Gala, elle est toujours dans mon esprit, dans mon coeur, dans mes souvenirs et elle est enterrée chez moi à Douchy. C’était une Doberman qu’on m’a offert et c’est la première chienne que j’ai vu pleurer. Un jour de jalousie, je l’ai engueulée pour quelque chose, un chien qui était venu, je ne sais plus ce qu’elle avait fait et j’ai vu cette chienne me regarder et pleurer, ça m’a bouleversé…

J’ai toujours eu l’amour des chiens. Mon premier amour a été pour les Bas Rouge Bergers de Beauce, je trouvais ces chiens extraordinaires. Et puis, je me suis toujours dit, bien avant de démarrer ma carrière, puisque j’étais militaire et je n’avais pas les moyens ni la possibilité d’en avoir : « J’espère un jour avoir des chiens » sans savoir que j’allais devenir l’acteur Alain Delon. Moi, j’ai des chiens qui rient, ma chienne, là, elle rigole !

E. R. : Vous avez, disent vos amis, le culte de l’amitié, mais aussi une profonde affection envers les des chiens et les animaux. En quoi sont- ils différents des hommes ?

A. D. : Ils ont en général toutes les qualités de l’homme moins les défauts ! Les défauts de l’homme qui sont eux, innombrables et innommables. Ils ont la fidélité, l’amour du maître quel qu’il soit, sans savoir qui est et ce que représente le maître. Moi je suis toujours touché par les chiens des SDF dans la rue. Ils ne savent pas que leur maître est SDF… Ils aiment cet homme, ils aiment leur père, de la même façon que le Labrador de Mitterrand aimait son maître sans savoir qu’il était président de la République et le patron du pays. Croyez-vous que les miens savent que je suis Alain Delon ? Ils s’en foutent complètement. Mes chiens m’aiment, ils ne savent pas qui je suis et ce que je fais. C’est l’amour total, l’amour complet, l’amour sans réflexion, l’amour pur et vrai.

E. R. : Y a t-il un rituel ou une communion particulière entre vos chiens et vous ?

A. D. : Il n’y a que ça, demandez à mon chauffeur qui est avec moi. Je pars de la campagne, j’en ai quatre qui sont dehors avec un chat. Dès que je change de chemise pour aller en ville, mon chien Shalva se transfigure. Il sait que je pars, on le voit dans les yeux, il me suit partout, il ne bouge plus, il n’a plus le même comportement parce qu’il sait que je m’en vais. Ce qui est formidable dans un chien, c’est qu’un chien sait que vous partez, mais il ne sait pas si vous allez revenir et il y a cette espèce de peur, mon père s’en va, mais est-ce qu’il va revenir ? Et c’est ça qui est magnifique. Je l’ai déclaré un jour, la vrai solitude, c’est ce que je vois dans le regard de mes chiens quand je les quitte.  E. R. : Vous arrive t-il d’emmener vos chiens avec vous lors de vos déplacements ?

A. D. : Je ne les emmène jamais avec moi. Ce sont des chiens qui ne supporteraient pas. Les chiens sont nés chez moi (à part Shalva et Charra qui sont venus de Sibérie et les Dogues du Tibet), vivent chez moi et meurent chez moi.

Douchy c’est un univers, vous me direz il y a 120 hectares, il y a tout ce que vous voulez, j’ai un drame malheureusement, c’est qu’ils me tuent de jeunes biches qui vivent en liberté chez moi. On ne peut rien faire… Mes chiens ne sortent jamais de chez moi. Mais je ne pourrais pas venir à Paris avec ces chiens, ce n’est pas possible ! Ou ils tremblent dans la voiture ou ils bouffent tout le monde. Le bruit, les voitures, la laisse, ils ne connaissent pas ça. Les seuls chiens qui venaient avec moi dans toute ma vie à Paris étaient les Malinois. Mais savez-vous, pour revenir sur les Dogues du Tibet, que c’est moi qui ait emmené et importé les premiers en France, il y a 25 ans ? Et c’est à la suite de ça qu’il y a depuis, un club des Dogues du Tibet.

E. R. : Avez-vous appris à vos enfants, Anthony, Anouchka et Alain-Fabien à aimer et à respecter les animaux ?

A. D. : Ils ont grandi avec les chiens. Ils ne pourraient pas vivre sans eux. J’ai des photos de mes enfants qui étaient au berceau avec les chiens. Ils ont la passion et l’amour des animaux. Anthony, qui maintenant est un homme, a eu lui aussi trois Bergers Belges. Malheureusement le drame c’est qu’à 10 ou 12 ans, ils vous quittent. C’est le drame des grands chiens.

E. R. : Avez-vous une passion pour une race en particulier ?

A. D. : J’ai une passion pour les Bergers Belges. J’ai connu et découvert les Malinois tardivement, après les Dobermanns et les Bergers Allemands. Ce sont des chiens extraordinaires, j’ai une passion pour eux. Ils sont toujours dans le monde entier des chiens de police et de douane. Ce sont des chiens physiques, j’aime les chiens physiques.

E. R. : Vous voyagez dans le monde entier mais vous êtes aussi un homme qui a de profondes attaches, que représente pour vous votre propriété de Douchy ?

A. D. : Douchy, c’est une propriété que j’ai acheté avant la naissance de mes enfants et la connaissance de leur mère, c’était avec Mireille et puis c’est devenu la maison familiale. C’est ce que la mère de mes enfants appelait la base, parce que mes enfants sont nés là, ont grandi là… Quand je dis ils sont nés là, en réalité ils sont nés à la clinique à Gien et sont arrivés à Douchy à trois jours. C’est la maison qu’on ne quittera jamais…

E. R. : Ceux qui ont eu la chance d’y être invités disent que c’est un paradis pour vos chiens ?

A. D. : Oui, Il y a des chiens partout ! Un jour dans une interview on nous avait demandé à Brigitte et à moi, ce qu’on aimerait être dans une prochaine vie : j’avais répondu « je voudrais être chien chez Alain Delon » ou « mulet chez Brigitte Bardot ». Ca c’est l’idéal de la vie, parce que chien chez moi c’est le paradis, c’est le bonheur.

E. R. : Vous avez enterré tous vos chiens à Douchy, c’est pour ne pas les oublier ?

A. D. : Oh mais c’est beaucoup plus profond que ça mon cher Eric. D’abord les chiens c’est pour les garder près de moi, chaque chien a sa part de vie, sa pierre tombale et les couples sont ensemble. Mais ce qui est beaucoup plus important, c’est qu’au milieu de ce cimetière des chiens, j’ai fait construire une chapelle où je serais enterré. Parce que j’ai la chance d’avoir fait les formalités nécessaires avec les expertises des sols et des eaux. Vous savez que pour être enterré chez vous ce n’est pas donné à tout le monde. Il faut une propriété particulière et il faut faire la demande de son vivant, que l’on ne vous donne pas mais que l’on vous accorde lorsque vous êtes mort. C’est-à-dire que ce sont vos héritiers qui disent : voilà les demandes ont été faites etc… Donc moi, je serai enterré dans ma chapelle construite au milieu de mes chiens. Alors les gens viennent et me disent : « Tu ne te rends pas compte ! » Je leur réponds : « Mais attendez, c’est le luxe suprême. Vous voulez que moi, j’aille au Père-Lachaise ou au cimetière Montparnasse ? » Là, je suis chez moi dans ma propriété au milieu de mes chiens dans mon trou, c’est formidable ! C’est le luxe total !

E. R. : Brigitte Bardot est votre amie depuis de nombreuses années, après son choix d’arrêter sa carrière au cinéma et la création un peu plus tard de sa Fondation, imaginiez-vous un instant son sacerdoce envers les animaux ?

A. D. : C’est mon amie depuis 50 ans, je lui ai toujours apporté mon aide, Brigitte est d’une importance capitale pour les bêtes et je pense même que si elle vit aujourd’hui, c’est grâce aux animaux.

Parce que la plupart des stars mondiales féminines que j’ai bien connues se sont suicidées.

E. R. : Avez-vous tourné beaucoup de films avec des animaux ?

A. D. : J’ai tourné avec mes chiens dans les films. J’ai tourné avec mes Bergers Belges dans Le Toubib et dans le Gang.

Dès qu’il y a un chien dans un film, c’est mon chien. Mais il est vrai que c’est plus facile de tourner avec des bêtes au cinéma qu’avec des enfants.


Source : http://www.lepetitnicois.fr/culture-loisirs-et-sport/animaux-cie/alain-delon-douchy-un-paradis-pour-ses-chiens,263.html

Publié dans le web en parle

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Joann Sfar et l’homme à la tête de chou

Publié le par Ricard Bruno

Il nous parle de Rabelais, d’Aristote, de Karl Gustave Jung… Ses modèles de biopic sont « Van Gogh qui nous apprend plus de choses sur Maurice Pialat que sur Van Gogh », « Amadeus » de Milos Forman qui sait tout aussi faire le portrait du roi du porno, « Larry Flynt ». Rencontre avec un auteur niçois de BD emblématique, devenu réalisateur.

 

LPN : Comment s’est fait le passage de la BD au cinéma ?

Joann Sfar : Naturellement. Cela fait 6 à 7 ans que l’on me sollicite pour faire un film de mes BD. J’ai toujours refusé en attendant « le » sujet qui vaille le coup et « Gainsbourg » est arrivé.

LPN : Et avec les moyens…et la liberté ?

J. S. : C’est un budget raisonnable, la moitié de celui de « Lucky Luke ». Nous avons scrupuleusement respecté le budget et les délais à la Clint Eastwood. Sur le ton, on ne s’est rien interdit. Le drame de la France, c’est l’autocensure. Dans la BD, on est plus libre, plus insolent… Le héros français est ambigu et à la fin, il est encore pire qu’au début, à l’inverse de celui américain qui doit évoluer, être meilleur à la fin… Gainsbourg fout sa famille en l’air toutes les 5 min.

LPN : Qu’est-ce qui est vrai et faux dans votre film ? Qu’y a-t-il de vous dans Gainsbourg ?

J. S. : C’est difficile, il y a beaucoup d’allers retours. Une chose est sûre, les liens avec son père étaient plus distants au contraire des miens. Il a dit qu’avec son père, il a raté un copain à qui parler. La rencontre avec Brigitte Bardot chez ses parents, c’est vrai, tout comme la rencontre avec Brassens. Ce qui nous rapproche, sans doute la peur de l’abandon… Et un certain sens du ridicule, on est tous deux quelque peu pathétique.

LPN : Qu’avez-vous apporté à votre « Gainsbourg » ? L’avez-vous rencontré ? Pourquoi le double ?

J. S. : Non, on devait se voir trois mois avant sa mort. Si je l’avais vu, je lui aurais demandé un dessin, il ne s’est jamais remis à la peinture… Comme moi, au violon… Je ne voulais pas de voix off , d’où le personnage du double. J’ai utilisé tous les artifices de la fête foraine, des animaux, des enfants, des masques… Quel Niçois n’a pas été digéré par la gueule de carton-pâte d’un Pantagruel géant ? On entre par la bouche, on sort par le cul…

Le cinéma doit être un cirque… et une magie de l’image. On allait chercher Gainsbourg puis on le perd… Et puis, il y a des moments intemporels comme la scène de Gainsbourg et de Bardot au piano…

LPN : Quelle était votre hantise sur le tournage ?

J. S. : Le trop grand respect. Le Talmud nous enseigne que si tu aimes un texte, il ne faut pas le respecter. Je voulais jouer avec le sujet et avec les acteurs. Eric Elmosnino est un génie qui sait tout faire… Mes références en terme d’acteurs, Groucho Marx et Vittorio Gassman. Je voulais qu’ils se sentent bien sur le tournage. L’amour des scènes pour échapper à la dictature de l’histoire dédiée à Lucy Gordon qui s’est suicidée 15 jours avant la fin du tournage.

Source : http://www.lepetitnicois.fr/culture-loisirs-et-sport/art-d-azur/joann-sfar-et-l-homme-a-la-tete-de-chou,286.html

Publié dans le web en parle

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Exposition BrigtteBardot...Prolongation jusqu'au 07 mars 2010!

Publié le par Ricard Bruno



Découvrez Le mythe Brigitte Bardot exposé à Boulogne-Billancourt
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Prolongation de l'exposition Brigitte Bardot jusqu'au 07 mars 2010, ATTENTION l'exposition sera ouverte du mardi au dimanche de 11h00 à 19h20 fermeture des caisses à 18h15.
Fermeture donc tous les lundi à partir du 01 février 2010.
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L’éperonnage, en Antarctique, du vaisseau de l’organisation Sea Shepherd...

Publié le par Ricard Bruno

Chasse
Après l’éperonnage, en Antarctique, du vaisseau de l’organisation Sea Shepherd par un baleinier japonais, la Fondation Brigitte Bardot renouvelle son soutien au « berger des mers » Paul Watson.

 
Depuis 1986, un moratoire, décidé par la Commission baleinière internationale sur la chasse commerciale protège les baleines. Pourtant, les japonais continue à massacrer les cétacés dans les mers antartiques sous prétexte de pratiquer une chasse à but scientifique qui d'ailleurs n'a jamais apporté aucun résultat.
Depuis la reprise de la chasse, en 1988, les Japonais ont pêché près de dix mille baleines. "Et aucune donnée scientifique utile n'a été produite", déplore Jun Hoshikawa, directeur exécutif de Greenpeace Japon.
Le 6 janvier 2010, le Shonan-Maru-n°2, baleinier japonais, qui suivait depuis plusieurs semaines le navire de Paul Watson et de son équipage, a heurté l'Ady-Gil, trimaran nouvelle génération sur lequel 6 personnes de Sea Shepherd avait embarqué. Finalement, l'Ady-Gil, dont l'unique but était de défendre ces animaux qui n'appartiennent à personne mais font partie du patrimoine universel, a sombré.

La réaction de Brigitte Bardot après cette nouvelle agression :

« Nous ne devons plus tolérer ces attaques permanentes des navires japonais au cœur même d’un sanctuaire baleinier censé protéger les espèces menacées. Des sanctions doivent être prises à l’encontre de ces tyrans des mers qui ne respectent rien ni personne.

Le gouvernement français est à l’initiative du sanctuaire en Antarctique alors il doit réagir et dénoncer fermement cette intolérable violation. Je trouve invraisemblable que les règles internationales soient bafouées dans l’indifférence de tous et suis très admirative de l’action menée par Paul Watson qui pallie aux manquements coupables des gouvernements.

Il m’a accueillie, il y a 33 ans, sur la banquise canadienne pour dénoncer le massacre des phoques alors il me revient aujourd’hui de lancer un appel à la générosité publique en faveur de ce type formidable et de son équipe courageuse.

Dans l’urgence, ma Fondation vient de débloquer 20 000 € pour aider Sea Shepherd mais cette somme reste bien insuffisante devant les dégâts occasionnés par l’attaque du baleinier japonais. Nous devons former une chaîne internationale pour soutenir cette organisation et lui permettre de poursuivre sa mission pacifiste car si le bon sens ne l’emporte pas, alors nous n’aurons pas d’autres choix que de nous battre à armes égales face aux navires de guerre qui répandent la mort dans les mers et océans du globe."

Lire le journal de bord de Lamya Essemlali, Présidente de Sea Shepherd France

Source : fondation Brigitte Bardot
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Cet été, on se la joue BB...

Publié le par Ricard Bruno

Cet été, on se la joue BB...Brigitte Bardot, c’est l'icône mode par excellence.

Que se soit pour le blond angélique, le khôl pour les yeux, les cuissardes, ou encore la célèbre petite ballerine Repetto, c’est Brigitte Bardot qu’on a copié.  

Cet été encore, les créateurs les plus en vogue comme Christopher Kane (voir photo), se sont inspirés de notre BB nationale, en remettant au goût du jour le célèbre imprimé vichy.  

Décliné en couleur pastel, il saura rafraîchir et "glamouriser" notre été…

Source : http://www.fashionroad.fr/article-1798-cet-ete-on-se-la-joue-bb.html

Publié dans le web en parle

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Alyssa Milano et Brigitte Bardot même amour des animaux

Publié le par Ricard Bruno

 Alyssa Milano joue les marraines pour un chien handicapé...Alyssa Milano joue les marraines pour un chien handicapé...

En France on a Brigitte Bardot, aux Etats-Unis ils ont Alyssa Milano ! Très sensible à la cause de nos amis les animaux, l’actrice s'est récemment prise d'affection pour un chien né sans pattes de devant...

Chez Fuzzy Rescue, un centre d’accueil pour animaux handicapés ou abandonnés de Los Angeles, on est habitué à voir débarquer l 'ex gamine de la série Madame est servie , Alyssa Milano. L'actrice que l'on a retrouvée plus tard en jolie sorcière dans Charmed n'hésite pas à s'investir et à donner de sa personne pour venir en aide aux chiens, chats et autres animaux de compagnie recueillis par l'association.

Récemment, c'est le petit Scooby Roo, un chien né avec une malformation, qui a reçu toute son attention. Dépourvu de pattes avant, l'animal avait jusque-là bien des difficultés à se mouvoir... Mais heureusement, sa marraine Alyssa lui est venu en aide ! L'actrice a en effet payé de sa poche un équipement spécial constitué de petites roues, qui permet à Scooby Roo de se déplacer avec moins d'efforts.

Il y a quelques jours, après une visite à son filleul, l'actrice postait quelques photos sur son profil Twitter et commentait : "Je suis dingue de Scooby Roo. Je l’ai aidé à avoir de petites roues. Comment aurais-je pu faire autrement ? Je ne suis pas sa mère, mais je suis sa marraine. Désormais il a ses roues, et il suit une thérapie de réeducation."

Décidément, Alyssa a un cœur gros comme ça...

Source : http://people.premiere.fr/News-People/Alyssa-Milano-joue-les-marraines-pour-un-chien-handicape/(gid)/2183774

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Aidez-nous à protester contre une fiesta cruelle au Mexique! : Mobilisation..

Publié le par Ricard Bruno

Tous les ans le 1er février six taureaux ou plus sont martyrisés et tués de façon abominable pendant la 'Fiesta de la Virgen de la Candelaria' dans la ville mexicaine de Tlacotalpan (Veracruz). Tout d’abord ils font ingurgiter de force aux taureaux des boissons fortement alcoolisées, puis ces animaux sont traînés dans la rivière par des cordes fixées à des bateaux pour être ensuite, une fois ramenés à quai, pourchassés dans les rues et torturés avec des couteaux, des bâtons et autres instruments de torture jusqu’à ce que mort s’en suive.

L’action de traîner les taureaux dans la rivière s’appelle 'embalse de toros' et le bureau de tourisme local fait même de la publicité pour ceci. En 2006 le gouverneur de la ville de Veracruz (Fidel Herrera Beltrán), avait interdit cet épouvantable festival à la suite des protestations de protecteurs des animaux et d’entretiens avec ceux-ci, mais le bourgmestre de Tlacotalpan n’a pas respecté l’interdiction. A la télévision mexicaine on a pu voir les images très choquantes des taureaux qui, gravement blessés essayaient dans leur panique de s’enfuir. La police faisait de son mieux pour protéger les animaux de la foule hystérique, mais les policiers étaient trop peu nombreux et les villageois étaient beaucoup trop assoiffés de sang.

En 2007 les villageois ont torturé en plus 6 taureaux dits de combat à côté des 6 taureaux ‘cebu’ destinés à ce carnage. Vous pouvez en voir le film sur www.youtube.com/watch?v=o0o2O6KEDCw, www.faace.co.uk/tlacotalpan.htm et www.anti-corrida.de/tlacotalpan.htm.

Tlacotalpan est sur la liste du Patrimoine immatériel de l’UNESCO et il faut que les gens sachent ce qui se passe dans cette commune. Les protestations seront envoyées aux autorités, à l’Eglise catholique et aux instances touristiques mexicaines.

Cliquez sur ce lien pour protester!
 
Pour voir la vidéo de la honte : http://www.youtube.com/watch?v=o0o2O6KEDCw

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Cette semaine au cinéma Landowski de Boulogne Billanourt : Brigitte Bardot...

Publié le par Ricard Bruno

Cette semaine au cinéma Landowski de Boulogne

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Cinéma Landowski - Boulogne-Billancourt Accueil

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Israël pionnier dans la protection des animaux

Publié le par Ricard Bruno

Le parlement israélien, la Knesset, a adopté le 06 janvier 2010 en première lecture, par 43 voix conte 9, un projet de loi important visant à interdire l’import de produits cosmétiques ayant été testés sur des animaux.

Ce n’est pas la première fois que les députés israéliens se mobilisent pour l’interdiction des produits ayant fait déjà l’objet d’expérimentation animale. En Mai 2007, Israël était presque la seule nation à interdire sur son sol les tests sur les animaux pour les produits cosmétiques et d’entretien. Avec la loi qui a été adoptée en dernière lecture par la Knesset le 21 mai 2007 et qui entrée en vigueur immédiatement, Israël a même été avance sur les pays européens ce qui a permit d’épargner entre 2000 et 3000 animaux sacrifiés chaque année pour tester ces produits.

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Si l’Etat Juif veut aujourd’hui interdire l’importation de produits cosmétiques ayant été testés sur des animaux à l’étranger, c’est parce que d’autres pays européens (notamment la France) continuent de faire des tests monstrueux sur les animaux.

L’Expérimentation animale en matière de cosmétiques et l’utilisation de tous les produits chimiques pose un problème éthique en Israël. ) Pour tous les Juifs, religieux de tous courants, laïcs de toutes tendances, Israël se doit, en fait, de faire respecter les animaux et donner l’exemple au reste des pays civilisé .

Néanmoins en Occident les industriels soutiennent les tests sur les animaux dans l’industrie cosmétique. En France par exemple, le gouvernement est accusé de protéger L’Oréal et LVMH. Une directive européenne interdit pourtant, à partir de mars 2009, la vente de produits de beauté comprenant des ingrédients chimiques expérimentés sur des êtres vivants.

“Le lobby industriel de la cosmétique est particulièrement puissant en France, on le sait”, dit Muriel Arnal, de l’association française de protection animale, One Voice (20 000 membres). Paris avait déjà traîné des pieds pour signer, en 2000, la convention européenne sur la protection des animaux vertébrés, pourtant établie quatorze ans auparavant dans le cadre du Conseil de l’Europe.

Les militants français de la cause animale soupçonnent leur gouvernement d’être à la solde de l’industrie cosmétique nationale, avec, à sa tête, L’Oréal et LVMH. Face aux critiques, Paris défend fermement sa position, et affirme que cette directive stoppera l’innovation cosmétique, créera des distorsions de concurrence avec “des répercussions inévitables en termes d’investissements, de perte de compétitivité mais également d’emplois”.

 

 

 

Rappelant que les consommateurs français sont plus généralement contre l’expérimentation. En effet, selon un sondage Ipsos/One Voice, réalisé au début 2003, auprès de 1 016 personnes, 64 % des Français se disent défavorables à l’expérimentation sur des animaux. Cette réponse est intergénérationnelle, et partagée davantage par les femmes (70 %) que par les hommes (58 %). Plus de deux Français sur trois (76 %) fustigent le manque de transparence des méthodes de fabrication, et 73 % estiment que l’information est insuffisante. Enfin, 70 % des gens pensent que l’expérimentation animale n’est pas assez réglementée. Pour pousser les industriels à mettre en œuvre les méthodes substitutives, l’arme du consommateur reste toujours efficace ; c’est son porte-monnaie. Il est tout à fait possible de boycotter les marques qui testent sur les animaux.

Pourtant, depuis dix ans, la plupart des fabricants, tels Clarins, L’Oréal et Lancaster, par exemple, ne se privent pas d’indiquer sur leurs étiquettes qu’ils ont cessé de tester sur les animaux la nocivité toxique ou irritante de leurs “produits finis”. Ils utilisent, à la place, des cellules cutanées et oculaires, des peaux reconstruites qui sont des tissus artificiels (mis au point par la recherche chez L’Oréal) et des cornées reconstruites à partir de cultures d’origine humaine.

Il existe aussi des marques qui ne font pas du tout d’expérimentation animale, ni sur les ingrédients ni sur les produits finis. Ces marques sont listées par l’association One Voice au lien suivant :

http://www.one-voice.fr/sites/default/files/Liste_des_marques_labellisees_par_One_Voice_associees_a_leurs_firmes_0.pdf

Le débat sur l’arrêt de la vente en Europe des cosmétiques dont les composants sont testés sur les animaux n’est pas récent. Une première directive (35/CE), adoptée le 14 juin 1993, fixait à janvier 1998 l’interdiction effective de vente. Une deuxième directive (18/CE), adoptée le 17 avril 1997, repousse la date d’entrée en application de l’interdiction afin de laisser davantage de temps aux industriels. Elle a fixé au 30 juin 2000 l’arrêt de mise sur le marché de ces produits. Pour répondre aux contraintes scientifiques invoquées par les industriels, une troisième directive (41/CE) a proposé, le 19 juin 2000, de fixer une nouvelle échéance, au 30 juin 2002. Enfin, une quatrième directive du Parlement européen et du conseil du 27 février 2003 a reporté pour la dernière fois l’échéance : 2005 pour les produits “finis”, 2009 pour les ingrédients qu’ils contiennent, à l’exception de quelques-uns, qui bénéficient d’un délai de grâce supplémentaire de trois ans.

Parmi les cosmétiques non testées sur les animaux, il y a des produits composés d’ingrédients naturels. Des entreprises comme L’Occitane, Nuxe et The Body Shop, citées en exemple par les défenseurs des animaux, plébiscitent les méthodes naturelles et la mémoire des procédés ancestraux. Ces entreprises se sont engagées à respecter le standard ‘’sans cruauté” et ils fournissent des attestations montrant que, désormais, ni elles ni leurs fournisseurs ne testent de nouveaux actifs sur des animaux.

Si la Knesset, le parlement israélien, a interdit avant même les européens les tests de produits cosmétiques et d’entretien sur les animaux, c’est surtout pour changer les habitudes de consommation et mettre fin à l’expérimentation animale. L’adoption le 6 janvier dernier de ce projet de loi visant à interdire l’importation de produits cosmétiques étrangers ayant été testés sur des animaux, est une victoire pour les militants de la cause animale en Europe. Sauf erreur de notre part Israël est aujourd’hui le seul pays au monde dans lequel, il est possible de se procurer ces produits classés dans la liste “sans cruauté”.

Si seulement si le monde entier pouvait épargner ces horreurs, comme ont fait les israéliens, l’industrie sera plus humaine et respectueuse de la faune et flore .Bravo en tous cas pour ce pays du Proche Orient. Nous, les habitants du reste du monde, nous pouvons mesuré le retard que nous prenons sur le plan de la civilisation si on reprend la vérité de Gandhi sur le fait que celle-ci est proportionnelle à la manière de bien traiter les animaux.

Source : http://jssnews.com/2010/01/10/israel-pionnier-dans-la-protection-des-animaux/
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