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L214 obtient l'annulation de l'implantation d’un poulailler industriel

Publié le par Ricard Bruno

L214 obtient l'annulation de l'implantation d’un poulailler industriel

L’association basée à Lyon a obtenu en référé, l’annulation provisoire de l’implantation d’un poulailler situé dans l’Allier qui devait permettre l'élevage de 160 000 poulets et de 12 000 dindes par an.

L'association lyonnaise de lutte contre la souffrance animale a obtenu la suspension d'un projet  d’exploitation d’un poulailler industriel sur la commune de Bressolles, dans l’Allier. Un projet qui devait permettre l'élevage de 160 000 poulets et de 12 000 dindes par an.

 

L214 et l'association Bressolles Bien Vivre, se sont associées pou lutter contre ce projet “compte tenu des conditions de vie effroyables qu’implique ce type d’élevage pour les animaux, des atteintes à l’environnement, des nombreuses nuisances à l’égard des riverains ainsi que de la fermeture au dialogue de la préfecture et du maire de Bressolles”, expliquent-elles. 

En plus du référé validé par le tribunal administratif de Clermont-Ferrand, les deux associations ont attaqué l'arrêté préfectoral autorisant le projet. Ce mardi, le juge des référés a décidé de suspendre en urgence l’exploitation de cet élevage, en raison notamment de la proximité de zones protégées Natura 2000. Pour autant, le projet n'est pour le moment pas encore annulé. Il faudra attendre la décision de la justice administrative sur la validité de l'arrêter préfectoral. 

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La France chrétienne, racines et traditions

Publié le par Ricard Bruno

La France chrétienne, racines et traditions
La France chrétienne, racines et traditions

En cette fin d'année, Valeurs actuelles a demandé à des personnalités ce qu'évoque pour elles la Nativité.

Intellectuels, artistes, politiques : nous avons demandé à des personnalités éminentes ce qu'évoque pour eux la Nativité. Pour commencer, le sociologue Mathieu Bock-Côté explique en quoi la fidélité à nos racines chrétiennes lui paraît vitale pour la civilisation française. Puis, Fabrice Luchini, Marion Maréchal, Luc Ferry, Philippe de Villiers, Brigitte Bardot, Laurent Wauquiez et Eric Zemmour, entre autres, nous confient leur vision d'un Noël chrétien.

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Walt Disney, Brigitte Bardot, Mata Hari et de nombreuses têtes couronnées sont passées par la Plaine

Publié le par Ricard Bruno

Des grands noms sont passés dans L’Ouest vosgien. Et on ne le sait pas toujours. C’est le cas du grand Walt Disney , resté dix mois à Neufchâteau de fin 1918 à septembre 1919 et qui dessina (le début) d’un avenir radieux. Deux ans plus tôt, la belle et envoûtante Mata Hari était séduite par Vittel. Tentative d’espionnage durant la Première Guerre mondiale ? Amour trop fort ? L’espionne a emporté avec elle une partie de ses secrets. L’amour est justement ce qui a amené Brigitte Bardot dans les Vosges. À Bocquegney pour être précis. Ce village de 131 âmes près de Dompaire ne vous dit rien ? C’est par ici que « BB » retrouvait l’un de ses amants dans les années 1968-1969. Mais l’amour ne fait pas tout. Encore moins en géopolitique. Qui aurait cru croiser à Contrexéville le Shah de Perse Mozaffaredin Shah et la grande-duchesse Wladimir au même moment ?

Walt Disney a quand même bien changé. Sur ce camion de la Croix-Rouge à Neufchâteau, il a même dessiné un petit personnage. Un dessin qui vaudrait de l’or aujourd’hui…

Walt Disney a quand même bien changé. Sur ce camion de la Croix-Rouge à Neufchâteau, il a même dessiné un petit personnage. Un dessin qui vaudrait de l’or aujourd’hui…

Un mensonge. C’est ce qui a permis au jeune Walter Elias Disney de venir en France, fin 1918. Alors âgé de 16 ans, le jeune Walter ment sur son âge pour rentrer dans la Croix-Rouge. Enfin, il falsifie son passeport et fait croire qu’il est né en 1900. Et ça marche. Il est alors accepté dans la division des ambulances de la Croix-Rouge américaine. Walt Disney arrive au Havre… juste après l’Armistice. Le dessinateur est installé dans un premier temps au centre d’instruction des ambulanciers américains à Saint-Cyr-l’École, puis est envoyé à la conduite d’ambulances pour l’hôpital d’évacuation n° 5 à Paris. Finalement, il est affecté à un camp de la Croix-Rouge à Neufchâteau. Et voilà que commence son périple de quasiment dix mois en terres néocastriennes.

Neufchâteau est un des principaux nœuds ferroviaires de l’époque. Bien que les Américains commencent à quitter le secteur, la Croix-Rouge doit rester pour porter secours aux nombreuses victimes arrivant en train. Walt Disney doit même être un des derniers Américains à quitter la cité des Goncourt !

« Ses tâches consistaient notamment à conduire Alice Howell, une employée de la cantine de la Croix-Rouge, dans divers hôpitaux pour livrer des beignets et de la crème glacée aux patients », apprend le site de la Croix-Rouge américaine.

Et il ne fait pas que cela. Avant d’arriver en France, Walt Disney était dans une des classes du Chicago Art Institute. Le dessin l’animait déjà. « Pendant son séjour à l’étranger, Disney a trouvé le temps de développer ses compétences artistiques », insiste le site de la Croix-Rouge américaine. Il a décoré de nombreux véhicules avec de petits dessins (photo ci-contre). Le jeune Walt illustrait également des affiches pour la Croix-Rouge et dessinait des dessins de guerre pour le magazine Life et Judge. « Je passais l’après-midi à aller à l’hôpital. Il dessinait déjà à l’époque », indique d’ailleurs Alice Howel au Daily Nebraskan, un journal étudiant de l’Université d’Omaha.

Reste-t-il des croquis du célèbre dessinateur à Neufchâteau ? Certains parlent notamment de « dessins détruits ». Mais la légende de Walt Disney reste et restera.

1918 C’est à la fin de la Première Guerre mondiale que Walt Disney est arrivé à Neufchâteau.

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Brigitte Bardot en couverture du journal Marianne n° 1136 du 20 décembre 2018

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot en couverture du journal Marianne n° 1136 du 20 décembre 2018
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Brigitte Bardot Larmes de combat en format poche...

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot Larmes de combat en format poche...
Larmes de combat

«Que garderez-vous de moi? Une danse lascive au son d'un mambo endiablé? Une petite Parisienne devenue star par hasard? Une idéaliste qui a voulu un jour consacrer ce qui lui restait de temps à la cause animale? Si aujourd'hui j'accepte de parler de moi, même très intimement, si j'accepte de publier ce dernier livre, c'est parce que j'en ai besoin, je veux balayer toute ambiguïté concernant ma vie et mes intentions, dans un souci d'honnêteté et de transparence.»

À plus de 80 ans, l'icône du cinéma français verse des larmes de combat et s'interroge sur la puissance de son action, elle qui, avant-gardiste, milite depuis près d'un demi-siècle pour une éthique animale. Pour la première fois, B.B. explore sa part sauvage, douce et féroce, expliquant bien des choix, inspirations et révoltes qui Lire la suite

AUTOBIOGRAPHIES, MÉMOIRES, TÉMOIGNAGES

Récit (n° 12515)

À paraître le 16/01/2019

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30 000€ requis contre un couple qui gérait un abattoir clandestin à Orgueil

Publié le par Ricard Bruno

30 000€ requis contre un couple qui gérait un abattoir clandestin à Orgueil

Le tribunal correctionnel de Montauban a jugé ce mardi après-midi un couple et un salarié qui ont géré un abattoir de volaille clandestin durant trois ans à Orgueil. Aucune réglementation sociale, fiscale ni vétérinaire n'était respectée. Près de 500 poulets étaient écoulés sur le marché toulousain et le nord de la Haute-Garonne chaque semaine.

C'est à la suite d'une dénonciation pour concurrence déloyale que les services vétérinaires du Tarn-et-Garonne et la DDCSPP ont mis à jour un abattoir clandestin dont l'activité a duré trois ans, de janvier 2014 à février 2017. Les suspects, un couple franco-marocain, abattait dans la ferme familiale d'Orgueil jusqu'à 500 poulets par semaine. "Les poulets étaient achetés vivants à la coopérative Qualisol 5€ puis revendus entre 7 et 10€ sur le marché toulousain et de la Haute-Garonne", décrit la juge Vanessa Maury. "Les transactions se faisaient en espèce et rarement par chèque". Les carcasses étaient enterrés dans le jardin du couple et les effluents jetés dans un fossé. L'abattage rituel se faisait par l'intermédiaire d'un homme qui était embauché au noir et rémunéré entre 100 et 200€ par semaine. Les poulets étaient électrocutés puis égorgés avant d'être transformés. 

260 000€ DE BÉNÉFICES EN TROIS ANS

Durant l'audience, seule la gérante s'est présentée à la barre. Face aux juges, elle reconnaît avoir été dépassé par les événements : "Je ne savais pas que j’exerçais une activité illégale. J’ai commencé par une petite activité avec quelques poussins que j'élevais et que je vendais ensuite. J’avais de plus en plus de commande. On est parti là-dedans la tête baissée. Je faisais des heures impossible. On voulait se mettre en conformité. Franchement, je n’y connais rien en papier". Depuis, la prévenue s'est mise en conformité et exerce désormais son activité en tant que gérante d'une SAS, uniquement pour la commercialisation de poulets. L'abattage se fait désormais dans un abattoir agréé.

Son mari, un agent administratif  au sein du ministère de la Défense dont les revenus sont de 1600€ nets par mois, avait pour mission de gérer la comptabilité et de l'aider dans cette activité. En trois ans, le couple a généré un bénéfice de 260 000€ qui ont échappé à toute déclaration fiscale. Les gérants de abattoir clandestin touchaient également des aides au logement sur la base de revenus sous-déclarés.

LA FONDATION BRIGITTE BARDOT ET LA SPA, PARTIES CIVILES

Dans ses réquisitions, le procureur de la République Philippe Clarissou décrit une "entreprise qui échappe à toute obligation fiscale, sociale et vétérinaire. Imaginez un peu, 500 poulets par semaine avec les entrailles déversés dans les fossés. Il y a un risque sur la santé humaine et la pollution des eaux." 15 000€ d’amende sont requis pour chaque membre du couple dont 7000€ avec sursis et la confiscation des 3500€ saisis lors des perquisitions. Pour l’homme chargé de l'abattage, il requiert une amende de 1500€. 

Dans cette affaire, la Fondation Brigitte Bardot et la SPA se sont portés parties civiles. Selon leur avocate Me Nathalie Marques, "une volaille est un animal. Cet abattage illégal porte atteinte au sort des animaux. Il y a des règles en France. Il faut les respecter." Du côté de la défense, Me Krimi-Chabab, avocate de la gérante, souligne qu'on en a trop fait dans cette affaire qui repose avant tout sur une dénonciation d'un concurrent. Elle rappelle que sa cliente s'est mise en conformité et a fait l'objet d'un redressement fiscal de 25 000€.

Les juges ont mis leur décision en délibéré au 29 janvier.

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Rémi Gaillard interpelle Emmanuel Macron pour interdire la chasse

Publié le par Ricard Bruno

L'humoriste a interpellé le président de la République au sujet des morts liés à la chasse.

L'humoriste a interpellé le président de la République au sujet des morts liés à la chasse.

L’humoriste Rémi Gaillard, très engagé dans la défense de la cause animale, a interpellé le président de la République sur Twitter pour lui demander d’interdire la chasse, ce dimanche 16 décembre. En mai dernier, il s’était déjà joint à Brigitte Bardot pour dénoncer la maltraitance dans les abattoirs.

Quand il ne prépare l’une des vidéos dont il a le secret, Rémi Gaillard s’engage pour défendre la cause animale. La preuve une nouvelle fois ce dimanche 16 décembre puisque l’humoriste a interpellé Emmanuel Macron sur Twitter en lui demandant d’interdire la chasse.

« Je vous relance pour arrêter la chasse »

Tout est parti d’un tweet posté par le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner au sujet des « Gilets jaunes ». « La nuit dernière, une 8e personne est décédée du fait de ce conflit. Les ronds-points doivent être libérés et la sécurité de tous redevenir la règle », a posté le ministre samedi 15 décembre.

Le lendemain, Rémi Gaillard a réagi en interpellant le président de la République. « Bonjour Emmanuel Macron, Le ministre compte les morts pour tenter d’arrêter le conflit (des Gilets jaunes, ndlr). Du coup, je vous relance pour arrêter la chasse. À moins qu’il y ait des pertes humaines qui comptent moins pour vous ? Et on divise par deux le prix du permis de conduire. Merci ».

 

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Brigitte Bardot J’ai été prisonnière de moi-même toute ma vie

Publié le par Ricard Bruno

Ce samedi, jean-Alphonse Richard revient sur la vie de Brigitte Bardot.

Brigitte Bardot n'a jamais aimé le cinéma. Elle s'est toujours méfiée de son double... Familièrement baptisé BB, deux initiales à travers lesquelles elle ne se reconnaissait pas, détestant la célébrité et son cortège de plaisirs futiles...Toute sa vie, Brigitte fut ainsi à la recherche de Bardot, pour enfin la trouver, une fois la vieillesse venue, dans un ancien village de pêcheurs au bord  de la Méditerrannée

Brigitte Bardot voit le jour à l'aube de la guerre dans une famille de la très bonne bourgeoise parisienne. Un père, prénommé Louis, qui dirige une usine. Les établissements Bardot et Compagnie, air et oxygènes liquides. Une mère, Anne-Marie, femme au foyer qui ne travaille pas. Les beaux quartiers, la messe du dimanche, les écoles catholiques, la maison de campagne de Louveciennes, les nurses, une gouvernante qui la suit partout et surveille chacun de ses pas... "J'étais une petite fille secrète, timide, craintive" raconte Brigitte Bardot. 

Bardot n'est pas encore BB, n'a décroché aucun rôle au cinéma et ne chante pas, mais dans les magazines  son visage est partout. Personne ne sait qui elle est mais tout le monde la connaît...Elle a tout d'abord le tournis. "Quelle merveille dans l'autobus de voir des gens qui lisaient des articles sur moi, je n'en revenais pas". Une fois passée la vingtaine, elle se ravisera..."Etre connue  au début c'est formidable, après on en a marre, ou alors c'est qu'on est con" dit-elle, laissant poindre une fissure qui, dès lors, ne va cesser de s'agrandir. Un funeste pressentiment. La crainte que la célébrité ne la dévore, ne l'emporte et finisse par la briser... 

Source : Radio RTL

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Grande soirée Bardot en mars 2019...

Publié le par Ricard Bruno

Grande soirée Bardot en mars 2019...

Belle comme le jour, fraîche, naturelle, pimpante, "divinissime" en jupe vichy, gonflée des jupons de jeune fille qu'elle portait avec une grâce infinie, j'organise une grande soirée Bardot en mars en projetant le film nouvellement restauré: "Voulez vous danser". Vive Brigitte au cinéma.

Frédéric Lévy

Pour suivre cet événement : Cliquez ICI

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