Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Un garde a été tué par des braconniers dans le parc des gorilles en RDC

Publié le par Ricard Bruno

Un garde a été tué par des braconniers dans le parc des gorilles en RDC

Quelques semaines à peine après la réouverture du Parc national des Virungas, en République démocratique du Congo, un garde forestier, Freddy Mahamba Muliro, a été tué le 7 mars lors d’une attaque dans son secteur central. Selon le directeur de l’Institut congolais pour la conservation de la nature (ICCN), Cosma Wilungula Balongelwa, sa patrouille est tombée dans une embuscade tendue par des rebelles Maï-Maï qui braconnent dans le parc.

Le Parc des Virunga, qui abrite des gorilles de montagne gravement menacés, ainsi que des centaines d’autres espèces rares, était fermé depuis plus de huit mois, pour élever le niveau de sécurité après une série d’attaques contre le personnel l’année dernière. Ce sont les mêmes gorilles que défendait Dian Fossey, elle-même assassinée le 26 décembre 1985, dans ces montagnes.

La mort de Freddy Mahamba Muliro « met en évidence les menaces très réelles qui pèsent sur nos rangers pour la protection du parc national des Virunga », a déclaré Emmanuel de Merode, directeur du parc. Plus de 170 rangers ont été tués dans les Virunga au cours des vingt dernières années. Au moins 12 sont morts dans des affrontements avec des milices et des braconniers en 2017 et 2018, un drame qui avait provoqué la fermeture du parc.

Les rangers sont recrutés dans les villages voisins, et touchent un salaire mensuel de 250 dollars, une somme non négligeable localement. Depuis 2007, un partenariat entre des organisations caritatives financées par des donateurs privés, l’Union européenne et le service de la faune congolaise, ont nommé Emmanuel de Merode à la tête du Parc pour engager de vastes réformes au profit des communautés locales, avec des microcrédits et des projets d’énergie hydroélectrique pour stimuler l’économie locale et offrir une alternative au braconnage et à l’agriculture sauvage dans le parc.

Source de l'article : Cliquez ICI

Partager cet article
Repost0

Une chienne reste enfermée cinq mois dans une cave : "c'était irrespirable!"

Publié le par Ricard Bruno

Une chienne reste enfermée cinq mois dans une cave : "c'était irrespirable!"

Le calvaire d'une chienne, qui a vécu plusieurs mois enfermée à la cave, au milieu de ses excréments, vient de prendre fin à Vitry-sur-Orne. Une plainte a été déposée.

Depuis plusieurs mois, une chienne croisée berger-allemand et beauceron, vivait enfermée dans la cave d'un immeuble, au 47 rue Clemenceau à Vitry-sur-Orne, rapporte aujourd'hui le Républicain Lorrain.

La chienne, appelée Vegeta, vivait au beau milieu de ses excréments. "C'était irrespirable", raconte une résidente de l'immeuble au quotidien. "Quinze jours après leur emménagement dans l’immeuble en octobre, ses maîtres l’ont ramenée. Un enclos avec une niche devait être construit dans le jardin. Mais rien n’a été fait et c’est vite devenu invivable. Comme la cave n’était jamais nettoyée, une odeur pestilentielle répandue dans les communs", poursuit cette résidente.

Le propriétaire de l'immeuble, informé de la situation, dit avoir contacté la gendarmerie et la mairie, sans succès. Une résidente aura la bonne idée de contacter la Société protectrice des animaux (SPA) d'Oeutrange. Après une enquête de la fondation Brigitte-Bardot, gendarmes et représentants de la SPA finissent par intervenir, le 8 mars dernier.

La chienne a été confiée à un refuge, et une plainte a été déposée à la brigade de gendarmerie de Fameck. Contacté par le Républicain Lorrain, le maître de Vegeta s'est refusé à tout commentaire.

Source de l'article : Cliquez ICI

Partager cet article
Repost0

Abattage rituel: les religieux résistent toujours à l'étourdissement

Publié le par Ricard Bruno

Carcasses de bovins abattus selon des rites religieux à l'abattoir de Haguenau, le 21 juillet 2016

Carcasses de bovins abattus selon des rites religieux à l'abattoir de Haguenau, le 21 juillet 2016

L'étourdissement des animaux immédiatement après la jugulation lors de l'abattage rituel est une alternative proposée par les associations de protection animale et des experts scientifiques, mais elle reste rejetée en France par les cultes musulman et juif.

Les législations française et européenne actuellement en vigueur prévoient un étourdissement de l'animal préalable à sa mise à mort. Cependant des dérogations sont prévues pour les abattages rituels.

Les méthodes d'étourdissement dites "conventionnelles" se font à l'aide d'un pistolet avec une tige perforant la boîte crânienne pour les bovins, une décharge électrique pour les ovins et les volailles et le gazage pour les porcs.

Christophe Marie, porte-parole de la Fondation Brigitte Bardot, défend une "obligation de soulagement" de l'animal par un étourdissement juste après la jugulation. "Le fait de soulager l'animal tout de suite après la saignée, c'est hors religieux et l'animal ne souffre qu'une ou deux secondes avant de perdre conscience", affirme-t-il.

"Le principe fixé par les religieux c'est de dire que l'animal doit être conscient lors de la saignée". Or "avec le soulagement immédiat, l'acte de l'abattage est passé", argumente-t-il. Sans quoi "l'agonie des bêtes peut durer plus de 15 minutes dans les cas extrêmes pour les bovins".

Mais la position des cultes musulman et juif est sans appel : une bête tuée alors qu'elle est déjà inconsciente est impure.

"Tout nouveau processus où il y a étourdissement à quelque stade que ce soit est totalement rejeté par la religion musulmane", tranche Anouar Kbibech, président du Rassemblement des musulmans de France.

Pour le grand rabbin Bruno Fiszon "le soulagement ne change rien et n'est pas envisageable". "Ce qui est important c'est de diminuer le temps de perte de conscience, qui peut être amélioré", suggère-t-il seulement.

- "Souffrance persistante" -

Une position contestée par des scientifiques lors d'une rencontre organisée fin janvier à Paris par l'Oeuvre d'assistance des bêtes d'abattoirs (Oaba).

"Avec l'étourdissement, quelle que soit la méthode de mise à mort, l'animal perd conscience et ne souffre pas", a affirmé Claudia Terlouw, chercheur à l'Inra.

Jean-Pierre Kieffer, président de l'Oaba, a jugé lui "l'obligation de soulagement indispensable et urgente". "L'abattage sans étourdissement dans l'espèce bovine va de pair avec la souffrance persistante", a-t-il dit.

Laurent Perrin, président du Syndicat national des vétérinaires d'exercice libéral a estimé que "l'abattage sans étourdissement retarde la perte de conscience jusqu'à parfois plusieurs minutes et que durant cette période consciente, l'animal peut être exposé à la douleur due à des plaies ouvertes, la possible aspiration de sang, et notamment dans le cas des ruminants, de contenu de rumination".

Quant à Brigitte Bardot, elle a écrit récemment à Emmanuel Macron pour que "la France rejoigne les pays qui imposent l'étourdissement des bêtes en toute circonstance lors de leur abattage", en abrogeant la dérogation dont bénéficient les abattages rituels .

Son courrier, fait suite à des images inédites tournées à l'abattoir de Rodez et dévoilée par la Fondation qui ne "dénonce pas d'infractions particulière, juste l'horreur quotidienne et la souffrance des bêtes égorgées en pleine conscience".

L'abattage rituel représente un marché important pour la filière. Il concerne 15 % des bovins et 27 % des ovins abattus dans 218 abattoirs sur les 259 que compte la France.

Quant au label de production biologique européen, il ne peut pas être appliqué à des viandes issues de l'abattage rituel sans étourdissement préalable, au motif que cette méthode ne respecte pas les "normes les plus élevées de bien-être animal", a estimé récemment La justice européenne rappelant que "des études scientifiques ont établi que l'étourdissement constitue la technique qui porte le moins atteinte au bien-être animal au moment de l'abattage".

L'abattage rituel est aujourd'hui interdit en Autriche, Suisse, Norvège, Slovénie, Islande, Danemark, et en Belgique.

Source de l'article : Cliquez ICI

Partager cet article
Repost0

Trop mignon ! On a assisté au nourrissage d'un bébé écureuil à Chanceaux-sur-Choisille

Publié le par Ricard Bruno

Reportage auprès de l'association Sauve qui Plume.

C'est le genre d'asso qu'on a très envie d'encourager...

Direction Chanceaux-sur-Choisille où nous avons - en quelque sorte - retrouvé l'Arche de Noé.

Là, au Nord de Tours, Thérèse et Yves Sionneau s'occupent de l'association Sauve qui Plume depuis 2005. Sauve Qui Plume a pour but de réinsérer dans leur milieu naturel les oiseaux et les mammifères sauvages blessés. Chaque année plus de 900 animaux sont recueillis, soignés puis relâchés dans la nature.

Nous avons pu assister au nourrissage au biberon de deux petits écureuils âgés d'un mois.

Aujourd'hui Thérèse et Yves sont aidés par une douzaine de bénévoles au moment des fortes périodes (mai juin juillet) et à partir du 15 avril ce sont 2 services civiques qui vont leur prêter main forte pendant 6 mois. Souvent les animaux sont apportés au refuge par des personnes les ayant trouvés accidentés sur les bords des routes.

Après les soins prodigués, les animaux seront réinsérés dans leur milieu naturel, parfois cette réinsertion se fait en public. Sauve qui Plume fonctionne grâce aux dons mais aussi aux subventions du département, de certaines communes, de la région et avec ses 200 adhésions. Tous les frais vétérinaires sont couverts par la fondation Brigitte Bardot. Vous pouvez faire un don à l'association à l'adresse suivante : Sauve qui Plume, 8 chemin des hautes Rentries 37 390 Chanceaux-sur-Choisille. Téléphone :.02 47 55 18 06 ou 06 88 41 29 45

Roger Pichot 

Partager cet article
Repost0

Nénette est sauvée la laie de Muids dans l'Eure ne sera finalement pas abattue

Publié le par Ricard Bruno

La mobilisation a payé : le préfet de l'Eure annonce ce mercredi soir que Nénette, la laie recueillie par un agriculteur de Muids, ne sera pas abattue. L'animal sera placé dans un refuge. Une pétition pour "Sauver Nénette" a recueilli plusieurs dizaines de milliers de signatures.

Nénette, 90 kilos sur la balance, avec Régis Héroux, l'agriculteur qui l'accueille depuis 18 mois

Nénette, 90 kilos sur la balance, avec Régis Héroux, l'agriculteur qui l'accueille depuis 18 mois

Quand le sort d'une laie, la femelle du sanglier, mobilise jusqu'aux plus hautes autorités. C'est ce qui s'est passé ce mercredi après la diffusion de plusieurs reportages, dont celui de France Bleu Normandie, concernant Nénette. La laie de 18 mois, accueillie par un agriculteur de Muids dans l'Eure était devenue la mascotte du village. 

Saud que l'agriculteur n'a pas les autorisations pour détenir un animal sauvage et l'animal devait être abattu d'ici la fin de la semaine prochaine. Inacceptable pour Régis Héroux, l'agriculteur qui héberge Nénette.

Alors, une pétition en ligne pour "Sauver Nénette" a recueilli des dizaines de milliers de signatures en quelques heures (72 000 mercredi soir), la députée LREM de l'Eure Claire O'Petit s'est aussi mobilisée pour sauver l'animal. Et ce mercredi soir, un communiqué du préfet de l'Eure tombe, comme un immense soulagement pour les défenseurs de Nénette. 

Nénette est sauvée  la laie de Muids dans l'Eure ne sera finalement pas abattue

Le communiqué explique que "le Préfet de l'Eure s'est immédiatement mobilisé avec l'ensemble des services de l’État afin de trouver une solution à cette situation".

La solution résiderait dans le placement de Nénette dans un refuge explique la préfecture : "Un animalier de la Fondation Brigitte Bardot s'est déplacé ce jour sur le site de l'exploitation de Régis Héroux afin d'étudier les solutions de placements au sein du refuge de La Mare Auzoux. Des solutions alternatives de placement sont également à l'étude en lien avec les services de l'Etat"

Nénette est sauvée  la laie de Muids dans l'Eure ne sera finalement pas abattue

Contacté alors qu'il était sur son tracteur, Régis Héroux nous a dit à quel point il était "soulagé". Pour lui "Nénette ne méritait pas de mourir quand on voit le bonheur qu'elle a donné à tous les enfants et à tous les gens du village.  Dans deux jours, Nénette va s'en aller dans un refuge, le temps que je fasse les papiers. Ensuite soit je fais un parc avec une mise aux normes et elle peut revenir chez moi, soit elle reste dans un refuge de la fondation Brigitte Bardot",raconte l'agriculteur dans un grand sourire. Régis Héroux, qui tient par notre intermédiaire, à remercier les milliers de personnes qui se sont mobilisées pour sauver Nénette.

Source de l'article : Cliquez ICI

Partager cet article
Repost0

Yonne: Des cadavres de chiens et de chats découverts chez un éleveur

Publié le par Ricard Bruno

Une gendarmerie. (Illustration)

Une gendarmerie. (Illustration)

C’est une véritable hécatombe. Dix-sept cadavres de chiens et plusieurs cadavres de chats ont été retrouvés dans les cages d’un élevage à Maligny (Yonne) ce dimanche, rapporte France 3 Bourgogne Franche-Comté.

Ce mardi, l’éleveur a été placé en garde à vue. Il comparaîtra devant le tribunal de Dijon (Côte d’Or) ce mercredi pour « abandon volontaire d’animal domestique » et « détention de cadavres ou de parties de cadavres d’animaux ». Il encourt jusqu’à deux ans de prison et 30.000 euros d’amende.

Yonne: Des cadavres de chiens et de chats découverts chez un éleveur

« Une quantité conséquente de chiens enterrés »

C’est un riverain qui a d’abord alerté la Fondation Brigitte Bardot. L’association a ensuite contacté les gendarmes qui se sont rendus sur place. Le propriétaire avait déjà quitté l’élevage, abandonnant les animaux à leur sort. Selon les premiers éléments de l’enquête, les chiens et les chats seraient morts de faim et de soif.

Une « quantité conséquente de chiens enterrés » aurait aussi été retrouvée selon Patrick Sacco, responsable de l’association Respectons, qui a porté plainte contre le propriétaire. Une quarantaine d’animaux survivants ont été pris en charge par différents refuges. Parmi eux se trouvaient des animaux en pension, confiés à l’élevage par leurs propriétaires le temps de leur absence, précise Le Bien Public.

Source de l'article : Cliquez ICI

Partager cet article
Repost0

Une vingtaine de  chiens morts de faim à Maligny un éleveur arrêté

Publié le par Ricard Bruno

Des dizaines de chiens étaient encore présents, mardi, dans les locaux de l’éleveur. Photo LBP /M. D.

Des dizaines de chiens étaient encore présents, mardi, dans les locaux de l’éleveur. Photo LBP /M. D.

Une vingtaine de cadavres de chiens ont été retrouvés, mardi matin, chez un éleveur installé à Maligny. Ce dernier a été interpellé et placé en garde à vue, à Arnay-le-Duc. Il devrait être présenté au procureur de la République de Dijon en vue d’une comparution immédiate, ce mercredi.

Le décompte opéré par les agents de la direction départementale de la protection des populations (DDPP) fait froid dans le dos : parmi la cinquantaine de chiens détenus dans un élevage de Maligny, une vingtaine étaient morts de soif et de faim.

Mardi matin, l’éleveur canin a été placé en garde à vue pour des actes de maltraitance : abandon volontaire d’animal domestique et détention de cadavres ou de parties de cadavres d’animaux. C’est un riverain qui a alerté la Fondation Brigitte Bardot, qui a ensuite transmis des informations aux gendarmes d’Arnay-le-Duc. Ces derniers sont intervenus mardi matin.

Source de l'article : Cliquez ICI

Partager cet article
Repost0

Cheval retrouvé mort près de Dieppe, la fondation Brigitte Bardot se saisit de l’affaire

Publié le par Ricard Bruno

Suite à l'alerte d'un riverain, les gendarmes sont intervenus sur une pâture de Saint-Aubin-le-Cauf, dimanche 10 mars 2019. Ils y ont retrouvé un cheval mort.

Samedi matin, l’un des chevaux était couché, en train d’agoniser sur une pâture de Saint-Aubin-le-Cauf, près de Dieppe.

Samedi matin, l’un des chevaux était couché, en train d’agoniser sur une pâture de Saint-Aubin-le-Cauf, près de Dieppe.

Ils sont arrivés trop tard, à la grande tristesse de Stéphane Hébert qui a donné l’alerte.

Samedi 9 mars 2019 au matin, il aperçoit dans une pâture de Saint-Aubin-le-Cauf, près de Dieppe (Seine-Maritime) deux chevaux qui paraissent en très mauvais état. L’un est couché et tous deux semblent très maigres.

Stéphane Hebert témoigne :

L’un était très déhanché et l’autre avait un œil en piteux état. »

Le riverain prend des photos qu’il poste sur Facebook. « Sont-ils vieux ou mal entretenus ? » interroge-t-il. 

« Ils n’ont pas d’herbe » constate aussitôt Christine Langlois qui répond à son poste Facebook.

Dimanche 10 mars dans la matinée, le riverain passe de nouveau devant la pâture. « Les chevaux n’y étaient plus. J’ai pensé que mon message sur Facebook avait eu un effet et que le propriétaire avait pris les choses en main » raconte-t-il.

En train d’agoniser

Pourtant, il décide de repasser dans l’après-midi pour en voir le cœur net :

J’ai réussi à m’approcher du terrain en passant par une autre pâture et c’est là que je les ai découverts. L’un était en train d’agoniser. Ils n’avaient ni eau, ni foin. »

Stéphane Hébert avertit alors les gendarmes ainsi que l’adjoint au maire. Il prévient également l’associationEqui Vimeu. « Dans la soirée de dimanche, j’ai été contacté par la Fondation Brigitte Bardot pour me dire qu’elle se rendait sur place » poursuit-il. 

 

Bonjour à tous.
Merci pour tous les soutiens. Vous êtes nombreux à demander des nouvelles des équidés.
Malheureusement le plus faible est décédé hier soir. Le deuxième, belle petite jument, vient d'être pris en charge par une famille d'accueil pour être vu par un vétérinaire après quoi il rejoindra une association. 
Bravo à tous les intervenants qui ont permis un aboutissement au mieux du possible de cette situation.

La personne de la Fondation Brigitte Bardot est arrivée vers 23 h. Elle était accompagnée d’un vétérinaire et les gendarmes étaient également sur place. L’un des chevaux était mort, « l’autre a été récupéré et placé en famille d’accueil dans l’attente d’une décision officielle de placement du parquet » précise la fondation.

Identifiés par les gendarmes, les propriétaires devront répondre très vraisemblablement de maltraitance sur animaux domestiques : il n’y avait ni eau, ni abri, ni nourriture sèche selon leurs constatations.

« Ce qui me révolte, c’est que je me suis rendu compte lors de mes démarches que beaucoup de gens étaient au courant, mais que chacun se renvoyait la balle » regrette Stéphane Hebert.

Source : Cliquez ICI

Partager cet article
Repost0

Brigitte Bardot, attrait touristique et symbole de l’émancipation de la femme

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot, attrait touristique et symbole de l’émancipation de la femme

C’est l’une des Françaises les plus célèbres à travers le monde. Reconnue pour sa beauté, son talent, son audace et son combat pour la cause animale, Brigitte Bardot était à l’honneur vendredi dernier au château de La Buzine, pour la journée de la femme.

Pour l’occasion, une conférence autour du mythe Bardot était organisée. "Il y a deux femmes qui se distinguent à travers la planète. Simone Signoret, qui avait décroché un Oscar et conquis Hollywood, et Brigitte Bardot, que l’on a pas besoin de présenter" explique Emmanuelle Guilcher, auteure de Simone et Brigitte.

"La fondation Brigitte Bardot est présente dans plus de 70 pays"  

Pour son photographe et ami Jacques Héripret, "il y a eu deux monuments au XXe siècle : Marilyn Monroe pour les États-Unis et Brigitte Bardot pour le reste du monde". Autour de la table également, Bruno Ricard, collectionneur et ami de Brigitte Bardot. "C’est incroyable l’aura qu’elle dégage à travers le monde. La fondation Brigitte Bardot est présente dans plus de 70 pays. Il y a 4 ans, le gouvernement brésilien m’a invité pour fêter les 50 ans de la venue de Brigitte à Buzios. J’ai encore des demandes du côté d’Israël et un petit peu partout dans le monde", explique ce passionné.

"C’est un extraterrestre qui arrive dans le paysage alors que dans les années 1950, lorsque la femme avait à peine le droit de voter, s’accordent-ils à souligner. Elle a fait sauter des tabous, une partie de la société n’acceptait pas qu’on montre de telles choses au cinéma en France".

Avec cette image sulfureuse, elle a attiré les regards du monde entier et a constitué un véritable attrait touristique pour notre région. "Je me souviens à Barcelone, 10, 20, 30 femmes la suivaient et voyaient en elle un signe de liberté", poursuit son ami photographe, sous le regard de Bernard D'Ormale, l’époux de Brigitte Bardot. Elle a rendu célèbre le petit port de pêche de Saint-Tropez à travers le monde. Avec elle, c’est la Côte d’Azur qui a fait de l’œil aux touristes.

Aujourd’hui encore, impossible de se balader dans les rues de Saint-Tropez sans voir l’empreinte de BB et son visage reconnu par les tourisme d'une multitude de nationalités. Depuis 6 mois, une exposition était visible au château de La Buzine. Couvertures de magazines, photos, vêtements mais aussi objets et accessoires ayant appartenu à la star étaient exposés. Cette journée a signé la fin de cet événement qui a attiré de nombreux visiteurs. 

Source de l'article : Cliquez ICI

Partager cet article
Repost0