Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

action protection animale

Brigitte Bardot Lettre ouverte au président du Kirghizistan

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot Lettre ouverte au président du  Kirghizistan

Article dans un journal étranger le 

French actress Brigitte Bardot offers help to President Japarov in prevention of violence against stray dogs

AKIPRESS.COM - French actress and animal rights activist Brigitte Bardot sent a letter to President of Kyrgyzstan Sadyr Japarov asking to stop killing of stray dogs.

She offered assistance in prevention of violence against stray dogys and noted that her Foundation present in Central Asia may offer ideas to the government for transition to ethical and sustainable management of stray dogs.

Brigitte Bardot set up the foundation for protection of animals in 1986.

Source de l'article : Cliquez ICI

Partager cet article
Repost0

Les gendarmes de Saint-Tropez sauvent six poules maltraitées par un Parisien

Publié le par Ricard Bruno

La vie de gendarme n'est pas un long fleuve tranquille et encore moins à Saint-Tropez. Photo : DR

La vie de gendarme n'est pas un long fleuve tranquille et encore moins à Saint-Tropez. Photo : DR

La vie de gendarme n'est pas un long fleuve tranquille et encore moins à Saint-Tropez.

L'événement marquant du jour pour les militaires a été un "sauvetage de gallinacées dans le centre-ville de Saint-Tropez".

Ces six pauvres poulettes étaient enfermées à l'arrière d'une caravane, dans une cage exiguë de moins d'un mètre carré, où elles ne pouvaient se mouvoir, sauf à se chevaucher.

Elles appartenaient à un Parisien en séjour à Saint-Tropez pendant quinze jours. Période pendant laquelle il comptait laisser les bêtes à plumes à leur triste sort, cernées par un grillage de fortune et bercées par le bruit incessant des voitures, le véhicule étant garé près de l'avenue Général Leclerc, artère principale d'entrée de la commune.

Renseignés par un policier municipal à la retraite, les gendarmes de la brigade de Saint-Tropez sont immédiatement intervenus et ont constaté les conditions inacceptables de ces dames de la basse-cour.

Renforcés par l'association grimaudoise de défense des animaux, les gendarmes de Saint-Tropez ont libéré les poulettes et les ont mises entre les mains des bienveillants bénévoles.

Entendu sur les faits, le propriétaire risque une peine d'amende devant le tribunal de police.

 

Partager cet article
Repost0

Propriétaire d’un élevage de chiens à La Celle-sous-Montmirail, un homme est jugé pour escroquerie et maltraitance animale

Publié le par Ricard Bruno

L’audience a lieu ce mercredi au tribunal correctionnel de Soissons pour juger cet homme qui tenait avec sa compagne un élevage illégal de chiens, dans des conditions insalubres.

Les gendarmes ont découvert en 2015 près de 150 chiens vivant dans des conditions d’insalubrité.

Les gendarmes ont découvert en 2015 près de 150 chiens vivant dans des conditions d’insalubrité.

Le 13 avril 2015, lors d’une intervention commune de la gendarmerie et de la Société protectrice des animaux (SPA), un élevage insalubre de 145 chiens avait été démantelé à La Celle-sous-Montmirail. Les chiens, principalement des border collie, étaient pour beaucoup en mauvaise santé, entassés dans des parcs trop étroits et en sous-nutrition.

Le couple propriétaire de l’élevage avait déjà été condamné en Belgique pour des faits similaires. La prévenue étant depuis décédée, plusieurs chefs d’inculpation ont été retenus envers l’homme, pour escroquerie et défaut de soin. Son procès a lieu ce mercredi au tribunal correctionnel de Soissons. D’anciens clients du couple ont porté plainte, leur chien ayant eu de gros problèmes de santé. Certains de ces chiots ont en effet été victimes d’affections tels la dysplasie ou la diarrhée et en ont succombé peu de temps après leur adoption.

Quatre associations de protection animale se sont également portées partie civile (Ani’Meaux, La Fondation Brigitte-Bardot, la SPA et les sales Gosses) ainsi qu’un certain nombre d’autres clients. Membre de Ani’Meaux, Jérôme Cordier explique l’intérêt d’une association de défense des animaux de se porter partie civile dans ce genre d’affaire : « En plus de son activité illégale, il a maltraité les chiens. L’animal n’a pas pu être sauvé par la famille malgré tout le nécessaire effectué. » Le soutien à la cause animale le rappelle : « Des chiots qui venaient d’être achetés sont décédés peu de temps après leur adoption malgré un certificat vétérinaire à l’appui quand il les a vendus. »

Maître Christophe Gérard indique que le prévenu encourt une peine pour le volet économique de l’affaire, soit les faits de blanchiment et d’exercice illégal. L’avocat de parties civiles, diplômé en droit animalier et spécialisé dans ce domaine, craint cependant que du côté de la maltraitance, la peine ne resterait que « symbolique ». Il sera à la barre ce jour et déclare sans détour que le but est de mettre l’accusé « hors d’état de nuire »  : « L’objectif premier est l’interdiction à vie de pouvoir approcher les animaux. »  

Source de l'article : Cliquez ICI

Partager cet article
Repost0

Une centaine de bovins maltraités récupérés en Deux-Sèvres par la fondation Brigitte Bardot

Publié le par Ricard Bruno

Un éleveur des Deux-Sèvres, privé de ses bêtes pour cause de maltraitance animale. Près de 90 bovins survivants ont été sauvés et confiés à la fondation Brigitte Bardot. Le dernier camion est parti ce lundi. Mais un charnier d'une trentaine de cadavres d'animaux a été découvert dans un champ.

La fondation Brigitte Bardot a tiré la sonnette d'alarme la semaine dernière sur le nombre de bêtes maltraitées qu'elle a dû récupérer, dont ces 90 bovins des Deux-Sèvres (Photo d'illustration)

La fondation Brigitte Bardot a tiré la sonnette d'alarme la semaine dernière sur le nombre de bêtes maltraitées qu'elle a dû récupérer, dont ces 90 bovins des Deux-Sèvres (Photo d'illustration)

Ca y est ! Les derniers bovins maltraités repérés dans les Deux-Sèvres ont tous été évacués. Le dernier camion est venu récupérer les bêtes encore vivantes ce lundi matin à Beugnon-Thireuil pour les emmener vers une pension gérée par la Fondation Brigitte Bardot, près de Rouen. L'évacuation a commencé la semaine dernière et s'est faite en plusieurs temps, suite à une décision de justice pour "maltraitance animale". Si une centaine de bêtes a pu être sauvée, des dizaines ont été retrouvées mortes dans un champ. 

Un charnier d'animaux dans un champ

Dans le village, les habitants avaient malheureusement l'habitude de voir les bêtes livrées à elles-mêmes : affamées, affaiblies, amaigries. Il y a d'ailleurs eu plusieurs signalements par le passé : des chasseurs, des promeneurs qui ne supportaient pas de voir les bovins dans cet état. Mais cette année, avec la dernière vague de froid, ça a été l'hécatombe : si 90 bêtes ont été retrouvées vivantes, un charnier de 28 cadavres d'animaux

Avec la décision de justice, la fondation Brigitte Bardot a eu l'autorisation de récupérer les bovins survivants. Le premier camion est parti mercredi soir, le deuxième vendredi et le dernier ce lundi donc. Et encore, trois animaux ont succombé ce lundi avant même de pouvoir monter dans le camion du salut.

Un exploitant déjà poursuivi en justice

L'exploitant en question lui n'en est pas à sa première implication dans une décision de justice. Il a déjà été impliqué dans une affaire de logement insalubre au Puy-Hardy. Cet éleveur de la Chapelle-Thireuil (qui fait partie désormais de la nouvelle commune du Beugnon-Thireuil), fait également du maraîchage. Comble de l'histoire : il a beau avoir été privé de ses bêtes pour maltraitance, à 63 ans, rien dans l'arsenal juridique ne l'empêche s'il le souhaite de se procurer de nouvelles bêtes. 

Source de l'article : Cliquez ICI

Partager cet article
Repost0

Un Varois jugé pour détention et destruction d’espèces protégées

Publié le par Ricard Bruno

Un retraité varois comparaît ce lundi après-midi devant le Tribunal de Toulon pour détention et destruction d’espèces protégées. Mais aussi chasse à l'aide d'un moyen prohibé. Il risque deux ans de prison et 150.000 euros d'amende.

Un Varois jugé pour détention et destruction d’espèces protégées

Il y a deux ans, à la Crau les inspecteurs de l’Office Français de Biodiversité découvrent chez le retraité plus de 1.900 pièges destinés à la capture de petits passereaux et que l’homme fabriquait lui-même. Ils mettent aussi la main sur 75 dépouilles de rouges-gorges déplumés, dans le congélateur. Des oiseaux très recherchés pour la qualité de leur chair et revendus entre 30 et 40 € pièce. L’homme détient aussi des oiseaux vivants : 12 chardonnerets tarins des aulnes retrouvés dans des cages. Le retraité reconnait les avoir capturés avec de la glu. 

Ce Varois est présenté comme un braconnier très connu des services 

Il n’avait d’ailleurs plus de permis de chasse, permis suspendu pour d’autres faits de braconnage. La Fondation Brigitte Bardot, l’Association One Voice, la LPO font notamment partie des parties civiles. Pour destruction d’espèces protégées, l’homme risque deux ans de prison et 150.000 euros d'amende. Son  procès débute cet après-midi devant le tribunal correctionnel de Toulon. 

 

Source de l'article : Cliquez ICI

Partager cet article
Repost0

Val-d’Oise : 300 euros d’amende pour avoir tué son chien Mozart

Publié le par Ricard Bruno

Le jugement rendu est purement et simplement scandaleux !

Nous sommes dans un pays ou on trouve toujours des excuses aux bourreaux !

Bruno Ricard

Val-d’Oise : 300 euros d’amende pour avoir tué son chien Mozart

Le propriétaire qui avait tué son chien à Argenteuil a écopé de 300 euros d’amende. Le tribunal de police a cependant reconnu l’altération du discernement du retraité, âgé de 73 ans.

Il avait attrapé son épagneul breton par le collier, le traînant jusqu'à provoquer sa mort. Près de deux ans après les faits, Alain C., 73 ans, a été reconnu coupable d'atteinte involontaire à la vie d'un animal domestique par le tribunal de police de Pontoise. Il a été condamné à 300 euros d'amende. Le tribunal a estimé par ailleurs que le retraité présentait une altération de son discernement au moment des faits.

Il devra payer à chacune des associations de défense des animaux qui se sont constituées parties civiles - la Fondation assistance aux animaux, la Fondation Brigitte Bardot, la SPA et l'association Stéphane Lamart - la somme de 300 € au titre des dommages et intérêts. Des associations qui avaient demandé la requalification des faits en mauvais traitements sans être suivies par le tribunal.

«Meurtri par cette procédure»

« Je suis un peu déçue de la décision dans la mesure où il y avait deux expertises. A mon avis, celle la plus proche des faits prévalait », confie à l'issue du délibéré Me Lorène Cardot, l'avocate du retraité. Elle évoque une expertise en garde à vue qui avait conclu à l'abolition du discernement et à l'irresponsabilité pénale de son client. « Il va aujourd'hui pouvoir tirer un trait sur tout cela. Il est assez meurtri par cette procédure qui a montré qu'il n'était pas apte à s'occuper d'un animal. »

Il y a bientôt deux ans, les cris d'« assassin ! » avaient résonné dans le boulevard du Général-Leclerc, aux abords du square d'Anjou, à Argenteuil. Depuis les trottoirs et les balcons, les témoins interpellent le retraité qui vient de récupérer son chien qui s'était enfui une nouvelle fois. Il vient de l'empoigner fermement par le collier et le traîne sans ménagement pour le ramener chez lui. Les pattes de Mozart alors âgé d'un peu plus de 2 ans, balayent le sol, déjà inertes. C'est ce que montre la vidéo filmée par un témoin d'une scène à laquelle le chien ne survivra pas. L'autopsie de l'animal attribuant le décès à une probable strangulation, en l'absence de toute pathologie.

« Je ne veux plus de chien »

« Je n'ai jamais voulu tuer mon chien », a expliqué à l'audience du tribunal de police, Alain C., confiant son « grand désespoir » après ce qui est arrivé à Mozart. Il avait eu auparavant, vingt-cinq ans durant, deux chiens morts, à ses côtés, de vieillesse. Il comprend qu'il ne peut plus assumer un animal de compagnie. « Je ne veux plus de chien. Je ne veux pas que cela recommence. »

Le jour des faits, il n'avait pas pu être entendu par les policiers lors de sa garde à vue, du fait d'une santé mentale chancelante. L'expert psychiatre, qui l'avait alors examiné, avait décrit « un sujet confus et des troubles du comportement », évoquant « une évolution démentielle ». Il estimait que ses troubles mentaux « rendent impossible son consentement ».

Source de l'article : Cliquez ICI

Partager cet article
Repost0

La Fondation Brigitte Bardot lance un SOS pour s'occuper d'une cinquantaine d'Aurochs saisis en Dordogne

Publié le par Ricard Bruno

Brigitte Bardot vient d'écrire au ministre de l'Agriculture. L'actrice et créatrice de la fondation d'aide aux animaux demande de l'argent au gouvernement pour s'occuper des animaux secourus. Elle évoque notamment 56 bovins saisis en Dordogne.

Les animaux ont été saisis par les services vétérinaires le 11 février dernier.

Les animaux ont été saisis par les services vétérinaires le 11 février dernier.

Brigitte Bardot demande de l'argent au gouvernement pour s'occuper des animaux secourus. Elle a écrit au ministre de l'Agriculture car elle estime qu'elle recueille de plus en plus d'animaux de ferme. "Rien qu'en février, nous devons organiser la prise en charge de l'accueil de 100 bovins et 400 moutons en Seine-Maritime, 56 bovins en Dordogne, 150 bovins dans le Nord, 90 bovins dans les Deux-Sèvres etc, chaque fois dans le cadre d'une procédure en mauvais traitements", indique Brigitte Bardot. 

Ce jeudi 18 février, la Fondation a récupéré notamment une cinquantaine de bovins. Le troupeau de bovin à viande, destiné à la vente directe, a été saisi le 11 février dernier à Thonac, près de Montignac en Périgord Noir. 

Des animaux à l'abandon 

Les animaux étaient laissés à l'abandon chez cet éleveur d'une soixantaine d'années qui a été hospitalisé. Il n'avait pas déclaré de naissance depuis un an et demi et que l’équarrisseur n'était pas passé depuis deux ans. 

Les services vétérinaires ont sont venus récupérer les animaux le 11 février. Ils ont retrouvé également une petite dizaine de cadavres et dans les congélateurs, plusieurs tonnes de viande avariée, des restes de carcasses de bovins mais aussi de sangliers, de faisans et des fromages. 

Le troupeau secouru a passé quelques jours en Charente, le temps de les nourrir et de vérifier notamment qu'ils n'avaient pas la tuberculose. Un veau n'a pas survécu mais les 55 autres bovins ont été emmenés ce jeudi 18 février par la Fondation Brigitte Bardot en Normandie. 

Source de l'article : Cliquez ICI

Partager cet article
Repost0

Animaux : Brigitte Bardot en appelle au gouvernement !

Publié le par Ricard Bruno

Animaux : Brigitte Bardot en appelle au gouvernement !

Brigitte Bardot s'illustre par un nouvel acte militant en faveur de la cause animale. Dans une lettre adressée au ministre de l'Agriculture, Julien Denormandie, datée du mercredi 17 février, l'ancienne actrice a « lancé un SOS » afin d'obtenir une aide financière pour sa fondation, qui recueille les animaux abandonnés ou en souffrance, et qui voit arriver de plus en plus d'animaux de ferme. « Rien qu'en février, nous devons organiser la prise en charge de l'accueil de 100 bovins et 400 moutons en Seine-Maritime, 56 bovins en Dordogne, 150 bovins dans le Nord, 90 bovins dans les Deux-Sèvres, etc., chaque fois dans le cadre d'une procédure en mauvais traitements », indique Brigitte Bardot dans sa lettre.

La Fondation a déjà « sous sa protection plus de 1 000 équidés, autant de bovins, plus de 500 chèvres, 250 cochons ou encore 2 500 moutons », pour « un coût annuel de plusieurs millions d'euros », écrit l'ancienne actrice. « Pour la première fois » depuis la création de sa fondation il y a 35 ans, elle dit devoir demander une aide à l'État, « face aux sollicitations toujours plus nombreuses de vos services vétérinaires ». « Nous ne sommes qu'en février et nous avons déjà dépassé la marge que nous avions prévue pour organiser la totalité des sauvetages de l'année », alerte-t-elle également.

Le plan de relance ne concerne pas les animaux de ferme

« On est de plus en plus sollicités par les services vétérinaires. On a fait adopter mercredi au conseil d'administration un budget de 3,5 millions d'euros pour les pensions d'animaux de ferme. On est au taquet et on n'a plus la possibilité de préparer d'autres sauvetages », a, de son côté, déclaré Christophe Marie, le porte-parole de la fondation.

Il regrette que « le plan de relance du gouvernement concerne uniquement les animaux de compagnie et l'accueil des équidés ». « Il faudrait qu'il y ait une prise en compte de cette problématique spécifique des animaux de ferme », estime-t-il. Dans le cadre de ce plan de relance, Julien Denormandie avait débloqué 14 millions d'euros pour que les structures de protection animale réparties sur le territoire français puissent continuer leur mission, financer des campagnes de stérilisation de chats et de chiens errants, rénover, mettre aux normes ou encore construire des refuges.

Source de l'article : Cliquez ICI

Partager cet article
Repost0

Portieux : la chienne gravement handicapée et en piteux état, sans doute jetée à l’eau, est morte

Publié le par Ricard Bruno

Emy, une chienne de 12 ans, gravement handicapée, est morte lundi en fin de matinée. La veille, elle avait été retrouvée par une promeneuse, dans le Mory qui coule à La Verrerie-de-Portieux. Le président de l’association « Ami des animaux » de Saint-Dié-des-Vosges, a déposé plainte.

Emy, la chienne qui est morte lundi, a été retrouvée dans un cours d’eau à La Verrerie-de-Portieux dimanche soir.  Photo DR

Emy, la chienne qui est morte lundi, a été retrouvée dans un cours d’eau à La Verrerie-de-Portieux dimanche soir. Photo DR

Dominique Franiatte ne décolère pas. Le président de l’association « Au nom des animaux » , basée à Saint-Dié-des-Vosges, s’insurge une nouvelle fois contre le sort qui a été réservé à une chienne du côté de La Verrerie-de-Portieux.

Ce mercredi, il a répondu à une convocation de la gendarmerie de Charmes pour expliquer la fin tragique d’Emy et déposé une plainte. « Les gendarmes, confiait-il, ont entendu plusieurs personnes dans cette affaire, mais l’enquête ne fait que commencer. Pour l’heure, on n’en sait pas plus. »

Ce que sait, en revanche, Dominique Franiatte, c’est que la chienne (12 ans), née d’un croisement entre un husky et un boxer, a connu une fin de vie terrible. Ainsi, dimanche soir, une personne qui se promenait au bord du ruisseau le Mory, à Portieux, a entendu des gémissements. Elle a alors vu la chienne, qui ne pouvait pas s’extirper de cette fâcheuse position parce qu’elle ne peut pas marcher. D’où la déduction de Dominique Franiatte. « Elle n’a pas pu aller seule jusque-là. Donc, la chienne a été jetée volontairement à l’eau. » Par qui ? La question reste entière.

« État lamentable »

Au-delà de ce geste plus qu’inconsidéré et particulièrement odieux, Dominique Franiatte évoque une situation globale. « Quand elle a été prise en charge par le vétérinaire, Emy était dans un état lamentable. Elle souffrait d’une hernie discale, de problèmes de peau. Ses griffes étaient démesurément longues et il lui manquait au moins dix kilos. De plus, les analyses de sang ont montré de sérieuses carences. »

Autant de constatations qui ont motivé sa démarche. « Je porte plainte pour actes de cruauté au nom de 30 Millions d’amis dont je suis le représentant. Notre association tout comme Mi-chien, Mi-loup et la Fondation Brigitte Bardot se constituent partie civile. »

Source de l'article : Cliquez ICI

Partager cet article
Repost0